Demander son inscription auprès de la sécurité sociale de l'armée ?
Cela concerne ma mère veuve depuis août 2011 : - jusqu'en 1963 couverture sociale en tant qu'ayant-droit de mon père militaire de carrière - de 1963 à 2005 ayant-droit de mon père à la caisse primaire d'assurance maladie de la vienne - 2005 ouverture de droits pour elle même suite à la perception d'une retraite de la Banque de France et inscription avec carte vitale à la Caisse primaire d'assurance maladie du Val de Marne En août 2011 mon père décède et nous faisons les démarches pour la perception des reversions. Aujourd'hui, la CPAM du Val de Marne dit à ma mère qu'elle doit demander son inscription auprès de la sécurité sociale de l'armée (Cisse nationale militaire de sécurité sociale) car c'est de l'armée qu'elle perçoit la réversion la plus important. J'ai pris contact avec la Caisse nationale militaire de sécurité sociale qui affirme que ce n'est pas le montant de la reversion qui détermine la caisse d'assurance maladie mais le fait d'avoir ouvert des droits à titre personnel. La Caisse primaire d'assurance maladie du val de Marne soutient le contraire, celle de la Vienne appelée pour avoir un avis "botte en touche" Qui faut-il croire et ou trouver les textes déterminant qui doit couvrir ? Merci d'avance de votre réponse
- Rubrique : sécurité sociale
- Réponse : 1
- Picasso
- Signaler un abus
- Suivre cette discussion
1 Réponse
D'après le peu que je sais sur la pension de réversion fonction publique, cette dernière est versée par le Centre régional des pensions dont dépendait le défunt mari. Mais il faut que la veuve en fasse la demande auprès du Ministère du budget, des comptes publics et de la fonction publique pour pouvoir en bénéficier. Donc, je crois que le mieux est que vous demandiez directement au Ministère du budget, des comptes publics et de la fonction publique laquelle des deux institutions devrait verser la réversion à votre mère. Le mieux est que vous vous rendiez sur place et demandez des explications à un responsable car il s’agit plutôt d’une situation délicate. Bonne chance.